Comme toute crise, l’épidémie de Covid-19 met en lumière la vulnérabilité et les dysfonctionnements de notre organisation collective, parmi lesquels figurent la gestion des biodéchets[1].
La collecte des déchets a été perturbée par le confinement, et cela a put entrainer la diminution de fréquence de la collecte des ordures ménagères.
La prévention et la gestion de proximité s’imposent alors comme des solutions pertinentes qui permettent de gagner en résilience et en autonomie.
Rappelons que les déchets compostables représentent en moyenne 30% du poids des ordures ménagères et environ 50% de celles des professionnels de la restauration.
Ce sont les déchets alimentaires qui causent des nuisances s’ils sont stockés trop longtemps dans les poubelles (odeurs, chats, rongeurs …).
Depuis le début du confinement il est constaté dans toute la France une recrudescence du brûlage des déchets verts de jardin ; ce phénomène s’expliquant par la fermeture des déchetteries. Cette pratique est interdite car très polluante.
Selon l’ADEME au-delà des possibles troubles du voisinage générés par les odeurs et la fumée, ainsi que des risques d’incendies, le brûlage à l’air libre émet de nombreux polluants[2]en quantités importantes dont les particules, qui véhiculent des composés cancérigènes comme les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) notamment[3].
Cette crise révèle donc la pertinence de mettre en œuvre une alternative à la gestion actuelle de nos biodéchets. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une pandémie qui paralyse une partie des services publics.
Cela pourrai se reproduire, comme d’autres situations extrêmes provoquées par le dérèglement climatique.
Imaginez les risques sanitaires que provoqueraient un confinement total ou une grève générale qui empêcheraient les camions de collecte des déchets de circuler ?
Chez FORMACOMPOST, la prévention des biodéchets, c’est notre métier, l’innovation, notre motivation.
Pour prévenir les problèmes cités ci-dessus, et réduire les coûts de gestion, de transport, et la taille des unités de traitement de nos déchets, il est opportun de les valoriser in situ.
Nous pensons que les déchets verts de jardins n’ont pas vocation à finir brûlés ou dans les déchetteries, sans forcement remplir les composteurs …
Un bon exemple illustré dans cette vidéo :
Déchets de jardin, n’en jetez plus ! – Broyage et paillage au jardin
Denis Pépin, Auteur, conférencier et formateur Jardin au naturel.
Reste alors les déchets alimentaires …
Voilà donc l’innovation que nous proposons, deux outils pour les valoriser
IN SITU ou au plus près du lieu de production :
POUR COMPOSTER SIMPLEMENT ET CONFORTABLEMENT LES DÉCHETS ALIMENTAIRES.
Deux composteurs autonomes qui peuvent transformer près de 100kg (Culbuto 1000) et environ 10kg (Culbuto 100) de déchets alimentaires par semaine,
et réaliser un pré-compost en deux à trois mois.
Moins de contraintes, plus d’autonomie, à moindre coûts …
CULBUTO 1000
CULBUTO 100